A la question: de quelle religion était Jésus ?, force est de constater que, parfois (trop souvent ?), la réponse est : Catholique ! Jésus le Juif: ni plus ni moins, né de parents juifs. Lire la suite
Le vent tourne vite, avec les hypocrites ! « Tout le monde faisait son éloge », lit-on, et, après avoir lu le passage à la synagogue, où Jésus affirme qu’ « aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Ecriture », ils veulent le tuer ! Lire la suite
Ah, une fête de mariage dans l’Evangile ! C’est bien la seule qui y soit répertoriée, même si des expressions et occasions de joie parsèment (pas assez à mon goût) le récit de la Bonne Nouvelle. Lire la suite
« Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi je trouve ma joie. »
C’est une déclaration d’amour de Dieu pour Son Fils, et pour toute baptisée et baptisé ! Car nous sommes configurés aux Christ. Ni plus, ni moins. Donc, ce que le Père dit au Fils, Dieu le dit à chacune et chacun d’entre nous. Lire la suite
Marie... la femme de la mise en route, de l’empressement, de l’écoute intérieure, de celle-qui-croit à l’accomplissement des paroles du Seigneur. Des qualificatifs que Luc parsème sur le chemin de la maison de Marie à celle d’Elisabeth. Lire la suite
Difficile de parler de la visite de Marie à Elisabeth sans évoquer l'annonce faite à Marie par l'ange Gabriel. Mais tout d'abord et avant d'aller plus loin, peut-être avons-nous besoin de questionner notre capacité à recevoir, encore, ces récits dans l'aujourd'hui de nos vies. En effet, à force de les entendre et de les réentendre, année après année, ne risquons-nous pas d'en perdre quelque peu la saveur et peut-être même la portée ? Lire la suite
« Que devons-nous faire ? » Question somme toute légitime quand on veut plaire à Dieu, non ? Ou du moins être cohérent avec son baptême. Luc ne précise pas de quel genre de baptême il s’agit ; on peut donc le prendre pour le nôtre. Lire la suite
Tant de détails historiques qui ne se chevauchent pas quant aux dates : on est entre – 40 et 37 AD ! Mais les personnages, eux, ce sont les grands de ce premier tiers du 1er siècle. Morts ou vivants, ils imprègnent une époque pendant laquelle les auteurs de l’Evangile selon Luc rédigent leur ouvrage. « Historique » dans le sens qu’il ne tombe pas du ciel mais s’ancre, s’incarne bel et bien dans une histoire humaine. Lire la suite
Les théologiens ont pour vocation de nous faire connaître Dieu, ce qu’il pense de nous ou de nos actions, ce qu'il aime que nous fassions pour lui plaire et comment il juge nos comportements ; et les Eglises se sont chargées de nous apprendre à mener une vie qui lui soit agréable et de nous façonner en êtres conformes à ce qu'il est censé attendre de nous, avec tout le cortège de fautes, de culpabilités, de punitions et de réconciliations que cela implique… Lire la suite
Etrange paradoxe: la venue du Fils de l’Homme est décrite comme « affolement », « désemparement », « fracas », « mourir de peur », « ébranlement » et, en vis-à-vis, « puissance », « grande gloire »… Ouf, on a fait le tour de l’imagerie apocalyptique qui a traversé les livres bibliques pour annoncer l’accomplissement de la Grande attente : l’arrivée du Messie, enfin ! Et Jésus naquit ! Lire la suite